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accueil >> Ils ont la parole... >> Témoignage Sylvie T.
J’ai d’abord fait une longue carrière dans le domaine de l’esthétique. J’ai en effet créé 4 instituts de beauté dans lesquels je me suis épanouie, aussi bien dans la vente de produit de beauté que dans les soins esthétiques.
J’ai appris à être à l’écoute de mes clientes et à leur apporter du bien-être. Mon époux étant muté, nous avons changé de région et j’ai donc dû vendre mon dernier institut de beauté. Nous sommes ainsi arrivés en Vendée en 2007 où il y avait suffisamment d’instituts dans la région.
Un jour, j’ai reçu un coup de téléphone de ma mère me disant qu’elle attendait la visite d’un certain Emmanuel S. qui devait lui présenter un appareil d’électrothérapie pour« soulager ses douleurs d’arthrose. » Je l’ai encouragé dans ce sens tout en lui demandant de se renseigner sur le travail de ce monsieur : « soulager les personnes, ça m’intéresse ! » Je suis entrée en contact avec Monsieur S. et j’ai pu faire une journée d’observation avec lui. Là, j’ai découvert un vrai professionnel, autant par son discours sur les douleurs, le grippage articulaire que par sa virtuosité et ses arguments commerciaux. Cela m’a plu, beaucoup…
J’ai pris contact avec Carine Bargain, chargée du recrutement, qui m’a écoutée, sans aucun préjugé sur mon manque d’expérience, et m’a donné envie d’aller plus loin. Puis elle m’a présentée au directeur des ventes dont la 1ère réflexion a été : « Vous n’avez jamais fait de vente directe? » Non, c’est vrai…Je vendais des produits de beauté, du service et du bien-être! Et ça marchait bien… Ils m’ont fait confiance. S’en est suivie une semaine de formation à Aix-en-Provence, durant laquelle je me suis retrouvée seule au milieu de professionnels de la vente directe. J’étais un peu paniquée au début. Mais l’excellente ambiance m’a réconfortée. J’ai écouté, pris des notes et des notes et j’ai appris.
Ensuite, j’ai eu une semaine de formation pratique sur le terrain avec mon Adjoint de Direction Régional, qui me répétait sans cesse : « il faut faire de la démo ! ». J’ai donc appliqué ses conseils. Il faut dire que j’étais en admiration quand je voyais dans le classement que certains commerciaux arrivaient à faire 8 ventes (et parfois plus) dans le mois. Dès que j’ai commencé à faire mes premières ventes, j’ai pris confiance en moi ; au bout de 3 mois, c’était parti. C’est comme l’électrothérapie, il faut être patient : c’est un métier, il faut l’apprendre. Assez vite, j’ai fait mes 8 ventes et j’ai montré le classement des délégués à mon mari et à mes enfants : j’y figurais… et bien placée ! La société me fait confiance et j’ai aujourd’hui pour mission de proposer, à mon tour, des journées d’observation et de formations aux nouveaux délégués. Nous faisons régulièrement des semaines organisées qui permettent de nous retrouver entre délégués et d’échanger les bonnes recettes !!!
Tout cela dans une très bonne ambiance. Il y a aussi des chalenges à gagner : j’ai ainsi découvert le Mexique, le Sénégal, la Thaïlande et bientôt Cuba. Pour résumer, j’apporte une solution aux personnes qui souffrent d’arthrose et de grippage articulaire, en pensant aux bienfaits que ma mère a pu ressentir. C’est un métier qui est parfois difficile, comme tous les métiers, mais il y a de nombreuses compensations, tant morales que financières.
Aujourd’hui, je travaille pour une société sérieuse. Je gagne bien ma vie, je réalise de très beaux projets, ma famille est fière de moi.
Je remercie toutes les personnes qui m’ont fait confiance.
Sylvie T.,
Déléguée conseil depuis 2008 – 1ère expérience de vente directe
Témoignages de Sylvie T.
J’ai d’abord fait une longue carrière dans le domaine de l’esthétique. J’ai en effet créé 4 instituts de beauté dans lesquels je me suis épanouie, aussi bien dans la vente de produit de beauté que dans les soins esthétiques.
J’ai appris à être à l’écoute de mes clientes et à leur apporter du bien-être. Mon époux étant muté, nous avons changé de région et j’ai donc dû vendre mon dernier institut de beauté. Nous sommes ainsi arrivés en Vendée en 2007 où il y avait suffisamment d’instituts dans la région.
Un jour, j’ai reçu un coup de téléphone de ma mère me disant qu’elle attendait la visite d’un certain Emmanuel S. qui devait lui présenter un appareil d’électrothérapie pour« soulager ses douleurs d’arthrose. » Je l’ai encouragé dans ce sens tout en lui demandant de se renseigner sur le travail de ce monsieur : « soulager les personnes, ça m’intéresse ! » Je suis entrée en contact avec Monsieur S. et j’ai pu faire une journée d’observation avec lui. Là, j’ai découvert un vrai professionnel, autant par son discours sur les douleurs, le grippage articulaire que par sa virtuosité et ses arguments commerciaux. Cela m’a plu, beaucoup…
J’ai pris contact avec Carine Bargain, chargée du recrutement, qui m’a écoutée, sans aucun préjugé sur mon manque d’expérience, et m’a donné envie d’aller plus loin. Puis elle m’a présentée au directeur des ventes dont la 1ère réflexion a été : « Vous n’avez jamais fait de vente directe? » Non, c’est vrai…Je vendais des produits de beauté, du service et du bien-être! Et ça marchait bien… Ils m’ont fait confiance. S’en est suivie une semaine de formation à Aix-en-Provence, durant laquelle je me suis retrouvée seule au milieu de professionnels de la vente directe. J’étais un peu paniquée au début. Mais l’excellente ambiance m’a réconfortée. J’ai écouté, pris des notes et des notes et j’ai appris.
Ensuite, j’ai eu une semaine de formation pratique sur le terrain avec mon Adjoint de Direction Régional, qui me répétait sans cesse : « il faut faire de la démo ! ». J’ai donc appliqué ses conseils. Il faut dire que j’étais en admiration quand je voyais dans le classement que certains commerciaux arrivaient à faire 8 ventes (et parfois plus) dans le mois. Dès que j’ai commencé à faire mes premières ventes, j’ai pris confiance en moi ; au bout de 3 mois, c’était parti. C’est comme l’électrothérapie, il faut être patient : c’est un métier, il faut l’apprendre. Assez vite, j’ai fait mes 8 ventes et j’ai montré le classement des délégués à mon mari et à mes enfants : j’y figurais… et bien placée ! La société me fait confiance et j’ai aujourd’hui pour mission de proposer, à mon tour, des journées d’observation et de formations aux nouveaux délégués. Nous faisons régulièrement des semaines organisées qui permettent de nous retrouver entre délégués et d’échanger les bonnes recettes !!!
Tout cela dans une très bonne ambiance. Il y a aussi des chalenges à gagner : j’ai ainsi découvert le Mexique, le Sénégal, la Thaïlande et bientôt Cuba. Pour résumer, j’apporte une solution aux personnes qui souffrent d’arthrose et de grippage articulaire, en pensant aux bienfaits que ma mère a pu ressentir. C’est un métier qui est parfois difficile, comme tous les métiers, mais il y a de nombreuses compensations, tant morales que financières.
Aujourd’hui, je travaille pour une société sérieuse. Je gagne bien ma vie, je réalise de très beaux projets, ma famille est fière de moi.
Je remercie toutes les personnes qui m’ont fait confiance.
Sylvie T.,
Déléguée conseil depuis 2008 – 1ère expérience de vente directe
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